Prisonnière, c'est la déglingue totale, comment leurs montrer a quelle point je souffre et leur faire comprendre que ça ne dépend pas d'eux et qu'ils sont très bien que je les aimes tous et que rien n'est de leurs faute, pourquoi les gens s'entêtent ils toujours a vouloir que ça soit de leur faute. Ne comprennent ils pas qu'on les aime? et que l'on est heureux avec eux, qu'on est simplement pas heureux avec nous même et que ça ne compte pas.
Parfois ils nous font souffrir, sans pourtant s'en rendre compte, un regard ailleurs un sourrir de trop, une comparaison, si seulement ils pouvaient recevoir une décharge de l'intensité de la douleur que l' on recent quand nos hommes regarde ailleurs, parfois ils ne se rendent même pas compte qu'ils regardent et s'en fiche même ils regardent pour regarder, ils regardent comme nous parfois on regarde aussi, mais lorsqu'on est atteinte de TCA ça devient vite un gros film un gros cauchemard, et une suite de question interminable, et là c'est nous qui n'arrivont pas a comprendre que ça n'a aucun rapport avec nous, mais ça nous révolte quand même, "ne me trouve til pas assez bien pour la regardez elle" , " il la regarde parce quelle a mis une jupe super courte que je ne pourrais peut etre jamais mettre", puis ça tourne vite a la douleur : " elle a des jambes plus longues que moi et un ventre tellment plus plat c'est pour ça il faut absolument que je maigrisse", "elle est tellement mieu que moi regard moi ces bras si mince et ces cuisses je suis sur que mes pantalons tombe complétement si elle les essay, il ne faut plus que je mange" etc et j'en passe ces phrases sont gentillette comparé a ce qu'on pense...
Qu'est ce qui nous as pousser a en arriver là et perdre totalement confiance en nous, au fond de moi je vois cette lumière, qui me dit que suis des milliard de fois mieu qu'elles toutes réunit je le sais je le sens, mais lorsque je croise un mirroir je perd tout de moi, je sens cette force en moi qui m'a poussé a faire des choses étonnante pour les autres et je perd les pédales lorsqu'il sagit de s'occuper de moi, n'est ce pas paradoxale de donner des conseils aux autres lorsqu'on est pas capable de les appliquer pour soi, je ne vois de moi que le pire de moi même comment les gens pourraient me renvoyer une image positive? Fasse à une vie tellement belle je m'empèche de sourrir comme si je me punissait chaque jour un peu plus, où es tu passer hardeur? Un jour peut etre arriverai je a me dire je t'aime, il me tarde que se jour vienne en attendant je me penche chaque jour un peu plus sur le rebord des toilettes en pensant très fort a ceux qui m'aime, en me disant qu'ils vont penser eux aussi plus que c'est de leur faute avec le risque de les perdre tous, a cause de cette mascarade