J'écris après une grosse séance de réflexion, enfin  un gros dodo surtout, je commence ma journée en laissant partir mon bb de chez moi alors que l'envi n'y est pas, pensant que peut etre je le verrais aujourd'hui, le miracle se produit ^^ je suis presque sur de passer la soirée avec lui et peut etre me révéyer demain matin dans ces bras, mais un imprévu fait que je nous ne puissons pas nous voir, j'étais sue le chemin de leclerc avec mon popa et, arriver dans les rayons je croise encore une fille maigre comme une allumette et je suis gentille, j'essay de passer au dessus de ça puisque je vais devoir bientot certainement ne plus etre osbédé par cette parfaite minceur d'ici samedi prochain, je décide de filer entre les rayons pour n'etre tenté de rien, et je m'éclipse vers le magasin de fringue, essayant un par un tout les fringues du magasin, enfin presque... j'ai trouvé dans le lot des tailles 34 inimaginable de pouvoir regarder ça. Je retourne auprès de mon père et me fait a l'idée que je resterais comme je suis pour toujours

En rentrant je décide de dormir pour passer le temps en éspérant toujours que je pourrai dormir avec mon homme ce soir, les illusions brisées je par manger, l'estomac remplit a ra bord je suis sur, je pense fort a lui pour ne pas craquer et garder ce que j'ai mangé sans trop y penser, première journée depuis un certain temps que j'ai faite sans penser a me faire du mal, c'est un début mais la soirée n'est pas fini, et s'il n'est pas là ce soir je vais surement pas arrivé a dormir de plus je commence a travailler demain et je suis anxieuse de savoir comment ça se passera, j'ai tellement peur de ne pas manger le midi et de ne pas faire mon travail correctement.... si seulement il pouvait venir ce soir, je rêve d'entendre ça voiture arriver dans ma rue, mais je sais pertinament que je n'entendrai que le son du téléphone comme pour me rapeler que je suis sans lui

Des journées a n'en plus finir, j'aimerai etre avec mon n'homme pour toujours, mais j'ai tellement peur que ma maladie m'éloigne chaque jour un peu plus de lui. Il sait tout de moi et connais mes problèmes, mais dit lui même qu'il ne me comprend pas, je ne cherche pas a sortir avec un psy :) je ne cherche pas a ce qu'il comprenne, enfin la seule chose que je veux qu'il comprenne c'est qu'il n'est en rien responsable de ce que je fais, je crois qu'il le sait et il me la dit mais j'ai peur qu'un jour mes chouinnement le gonfle, parce que moi ça mgonfle de m'entendre me pleindre a longueur de journée et voir que ça ne change rien en plus c'est encore plus énervant. Hier une grosse excursion jusqu'é gare du nord pour voir mon bébé, et puis en chemin après m'etre croisé 120 fois dans les vitrines et les diverses mirroirs, je me suis dit qu'au fond il y a  pire que moi et qui y en a qui souffre encore plus, et puis j'entend rire et parler très fort derrière moi, c'était vous savez ce genre de fille qu'on a envi d' étriper même sans les connaitres, les glousseuses, celle qui se cache derrière leurs rires pour éviter de penser... alors que je bouillais intérieurement de les entendre rire comme des dindon, je me suis retourné un instant et là mon coeur c'est arrété, toutes les 5 tellements mince et magnifique de la brune a la blonde en passant par la rousse, la perfection devant mes yeux, mon regard se posa sur les poignet de chacune par réflexe, croyant y voir notre bracelet fétiche, une d'entre elle le portait, sa minceur si parfaite révélais finalement sa douleur, c'est avec la plus grande souffrance que je les admire passer d'un regard tueur comme a mon habitude, jalousie peut etre, surtout tristesse de voir que mon corps lui n'avait toujours pas changer et que mon âme n'avait pas échanger sa place avec la mienne.

Plus tard dans la soirée j'étais près de mon doudou, nous parlions de choses et d'autres, regardant le reportage sur versace et les grand de la haute couture, voyant passé mannekin sur mannekin, une phrase des plus douloureuse est sorti de ma bouche , "je donnerais tout pour etre dans le corps de ces filles juste une journée", phrase certe très polémique, une explication s'en ai suivit en retenant au plus profond de moi même mes larmes, pourquoi moi ? blablabla etc, la fatalité boulimique aurais été un bon titre de bouquin pour une autobiographie... certainement déçu d'avoir entendu mon poids, je ne savais plus ou me mettre, je pensais qu'il le savait je lui avait pourtant dit , Je n'ai que ce que je merite voilà ce que j'entend sans arret, j'ai essayé de lui expliquer que je le voi regarder et que ça mfai mal, je ne lui en veux pas de regarder j'envi ces filles qui sont regardé par celui que jaime, je sais qu'il ne les regarde pas comme moi il me regarde mais les TCA, j'aimerai tellement que je n'ai pas de probleme avec moi même pour que je puisse m'abandonner, celà ne va til jamais finir?

J'ai entendu hier le mot volonté a nouveau, la boulimie est un vilain défaut, la volonté ne peut etre produite construite, écrite et appliquer, c'est pas des bâton qu'on nous met dans les roue mais des tronc d'arbres, oui quand on veut on peu, mais vomir 2 a 8 fois par jour parfois grille un peu les cartouches...

Prisonnière, c'est la déglingue totale, comment leurs montrer a quelle point je souffre et leur faire comprendre que ça ne dépend pas d'eux et qu'ils sont très bien que je les aimes tous et que rien n'est de leurs faute, pourquoi les gens s'entêtent ils toujours a vouloir que ça soit de leur faute. Ne comprennent ils pas qu'on les aime? et que l'on est heureux avec eux, qu'on est simplement pas heureux avec nous même et que ça ne compte pas.

Parfois ils nous font souffrir, sans pourtant s'en rendre compte, un regard ailleurs un sourrir de trop, une comparaison, si seulement ils pouvaient recevoir une décharge de l'intensité de la douleur que l' on recent quand nos hommes regarde ailleurs, parfois ils ne se rendent même pas compte qu'ils regardent et s'en fiche même ils regardent pour regarder, ils regardent comme nous parfois on regarde aussi, mais lorsqu'on est atteinte de TCA ça devient vite un gros film un gros cauchemard, et une suite de question interminable, et là c'est nous qui n'arrivont pas a comprendre que ça n'a aucun rapport avec nous, mais ça nous révolte quand même, "ne me trouve til pas assez bien pour la regardez elle" , " il la regarde parce quelle a mis une jupe super courte que je ne pourrais peut etre jamais mettre", puis ça tourne vite a la douleur : " elle a des jambes plus longues que moi et un ventre tellment plus plat c'est pour ça  il faut absolument que je maigrisse", "elle est tellement mieu que moi regard moi ces bras si mince et ces cuisses je suis sur que mes pantalons tombe complétement si elle les essay, il ne faut plus que je mange" etc et j'en passe ces phrases sont gentillette comparé a ce qu'on pense...

Qu'est ce qui nous as pousser a en arriver là et perdre totalement confiance en nous, au fond de moi je vois cette lumière, qui me dit que suis des milliard de fois mieu qu'elles toutes réunit je le sais je le sens, mais lorsque je croise un mirroir je perd tout de moi, je sens cette force en moi qui m'a poussé a faire des choses étonnante pour les autres et je perd les pédales lorsqu'il sagit de s'occuper de moi, n'est ce pas paradoxale de donner des conseils aux autres lorsqu'on est pas capable de les appliquer pour soi, je ne vois de moi que le pire de moi même comment les gens pourraient me renvoyer une image positive? Fasse à une vie tellement belle je m'empèche de sourrir comme si je me punissait chaque jour un peu plus, où es tu passer hardeur? Un jour peut etre arriverai je a me dire je t'aime, il me tarde que se jour vienne en attendant je me penche chaque jour un peu plus sur le rebord des toilettes en pensant très fort a ceux qui m'aime, en me disant qu'ils vont penser eux aussi plus que c'est de leur faute avec le risque de les perdre tous, a cause de cette mascarade